Charge Maximale d'Utilisation, valeur limite de charge applicable à tout matériel d'accroche et de levage.
Voir allemande.
Ouverture fixe intégrée dans l'architecture de la salle.
Draperie mobile et rigide donnant l'ouverture de la scène.
Platelage ajouré.
Poulie ou moufle de marine.
Elément décoratif se figeant sur un châssis; figurant une ouverture (porte, fenêtre...)
Pot de peinture contenant le mélange préparé, pouvant être divisé vers d'autres récipients.
Théâtre de marionnettes.
Restauration sur le lieu de représentation, pour les personnels techniques et artistiques.
Tube cintré.
Effectué en cours de jeu ou lors de l'entracte, il permet la pose/dépose d'un décor sur scène ou dans les cintres.
Changement
"à vue" en cours de jeu et à vue du public. Changement "précipité" pour
un chanagement rapide sur un "noir lumière", ou à vue du public.
Plante cultivée pour sa fibre, utilisée pour la fabrication de cordages.
Poids propre de tous matériels.
Faire descendre un décor ou une porteuse de cintres. Contraire : "appuyer" . Equiper un chariot de contrepoids avec un lest de pains.
1. Installation permettant la disparition rapide de tissus dans les dessous de scène ou de pongé dans le cintre.
2. Tube de tissu englobant le corps d'une élingue pour masquer celle-ci.
Poutrelle fixée au gril, soutenant une lignée de poulies de renvoi de porteuses ou la lignée des mères de famille.
Cadre en bois, entoilé ou couvert d'un contreplaqué.
Partie aérienne de la cage de scène dans les dessus et non vue du public. C’est dans cet espace que se meurent les fils, les perches et les porteuses. L’origine du mot se trouve sans doute dans le fait qu’au XVIe XVIIe siècles le plafond de scène était cintré de chaque côté pour donner une impression de ciel.
Alain Roy, Dictionnaire raisonné et illustré du théâtre à l’italienne, Actes Sud 1992.
Machinistes affectés aux manœuvres des équipes mobiles du cintre.
Nœud simple venant verrouiller d'autres nœuds.
Charger la base d'une frise sur un décor.
Tambour à gorges, renvoyant le chanvre de commande ainsi que les suspentes d'une porteuse. Elle se situe dans la partie haute de la cheminée.
1. Crochet de fixation pour projecteurs.
2. Collier pour raccorder les éléments d'accroche sur un support.
3. collier pour le raccordement de tubes.
Dernière répétition avant une générale.
Résine utilisée par les danseurs pour augmenter l'adhérence des chaussons sur les tapis, utilisée également sur les archets de violon, violoncelle...
Procédé de constitution des cordages et des câbles par le torsadage de fils, puis de torons de fils.
Nom ancien du machiniste décorateur.
1. Pour les machinistes, déroulé technique d'un spectacle sur papier.
Indique les diverses opérations de changements ou de manœuvres à
effectuer en cours de représentation.
2. Déroulé informatisé des états de la lumière en jeu pour les électriciens, on dit "taper la conduite".
Elément d'accroche utilisé en levage (mousqueton, maillon rapide, manille...).
Charge de lest équilibrant une porteuse et son équipement.
Pour un échafaudage, assemblage de tubes montés en opposition pour éviter les déformations de l'édifice.
Le mot à bannir sur scène. Sur un navire à voile, chaque cordage porte un nom spécifique, la corde étant réservé pour la cloche à saluer les morts. Le remplacer par fil, guinde, bout (prononcer boute), ficelle, nouette, drisse... Cette superstition semble venir d'une époque où les marins, reconvertis dans la construction des charpentes et des machineries de théâtre, des décors et de leurs manœuvres, introduisirent leurs techniques et traditions pour la scène.
1. parties de scène situées sur les côtés ou au lointain, hors vue du public.
2. Entrées et sorties de scène entre pendrillons.
Charnière démontable. L'axe du couplet peut être un simple clou.
Côté droit de la scène vue depuis la salle. Contraire : "jardin".
Partie mobile d'un câble ou d'un cordage dans un système moufle.
Toile plastifiée utilisée pour créer des fonds colorés.